DIÉTÉTIQUE DU BIEN PORTANT

PERDRE DU POIDS

POPULATION ADULTE

Evaluation des mesures anthropométriques (poids, taille, composition corporelle) à l’aide de l’impédancemétrie (Pour plus d’informations, se référer à « impédancemétrie » dans l’onglet MA METHODE). 

 

Analyse exhaustive des comportements alimentaires : le nombre de repas quotidiens, leur structure, leur volume, leur composition, quelles sont les habitudes au travail, les habitudes et les réflexes à encourager et à améliorer, les fréquences et les périodes de grignotage, la qualité des produits de consommation courante, vos connaissances générales vis-à-vis de la nutrition, etc. La liste est non-exhaustive, l’analyse s’oriente en fonction de vos réponses. 

 

Dispositions et compétences en cuisine : le degré de plaisir à cuisiner, le temps consacré à la réalisation des repas, les produits travaillés sont-ils principalement bruts ou transformés, l’instinct de créativité, la curiosité face à la découverte de nouveaux produits, êtes-vous résolu à améliorer l’aspect nutritionnel et diététique de votre alimentation.

 

Un point sur l’activité physique : à quelle fréquence pratiquez-vous une activité, quel est votre potentiel physique, votre rapport aux notions de plaisir et de motivation, les raisons expliquant un manque d’activité physique. Si vous ne pratiquez aucune activité, nous tâcherons ensemble de réfléchir sur une activité physique qui corresponde à vos possibilités physiques, qui ne crée pas de dégoût mais qui, au contraire, soit compatible avec la notion de plaisir et de satisfaction. 

 

Un ZOOM sur votre motivation et votre détermination : je ne le dirai jamais assez, il s’agit d’un point essentiel à la prise en charge. Etes-vous personnellement engagé ou consultez-vous sous l’influence d’un proche ? Quelles sont vos motivations à entreprendre un suivi diététique ? Etes-vous décidé, volontaire, entreprenant ?

Le bilan permet d’établir un programme alimentaire évolutif spécifique à vos besoins. C’est vous qui le validerez. Il repose sur les principes d’une alimentation variée, équilibrée, sans carence, sans restriction. La gestion du plan alimentaire garantit des apports en quantité adaptée qui assure un sentiment de plénitude entre chaque repas. Pas de frustration, pas de manque, pas de rechute. Ce plan alimentaire peut demander quelques adaptations de vie, des méthodes d’organisation à revoir… Rien ne vous semblera insurmontable une fois motivé et déterminé.

Un examen expert et précis de l’évolution de la prise en charge. Celui-ci repose d’une part sur l’impédancemétrie qui permet le suivi de l’évolution des mesures corporelles, d’autre part sur un interrogatoire minutieusement mené associé à des relevés alimentaires que vous m’apportez. L’ensemble permet la correction des erreurs alimentaires qui repose sur leur identification durant les échanges et qui sont visibles sur les relevés alimentaires et sur l’évolution anormale ou stagnante des mesures corporelles. 

 

De la pertinence professionnelle : des explications, des conseils, des propositions, des suggestions, des recommandations, des idées pour vous aider de manière toujours très spécifique à avancer et à faire mieux dans des situations de la vie de tous les jours (gestion des repas à l’extérieur, des apéritifs, des barbecues…). 

 

Des services supplémentaires s’ils sont souhaités par le patient : cours de cuisine à domicile, coaching à domicile et coaching courses alimentaires.

LES POPULATIONS JEUNES (ENFANTS ET ADOLESCENTS)

Note : la prise en charge des adolescents dont la croissance est terminée et des jeunes adultes se base sur les principes d’une prise en charge de patients adultes. Des adaptations méthodologiques et pédagogiques sont mises en place pour éveiller et consolider un lien de confiance entre le jeune patient et moi-même.


Une éducation nutritionnelle réussie chez l’enfant est encore le moyen le plus efficace pour éviter un futur surpoids ou une future obésité et tous les problèmes de santé qui en découleront. Une éducation nutritionnelle manquée augmente considérablement les risques de déséquilibres alimentaires à vie. Le surpoids et l’obésité sont les dérives de notre société de consommation dont le résultat aujourd’hui est une baisse inédite de l’espérance de vie dans certains pays du monde occidental. Je félicite vivement tout parent qui entreprend une prise en charge pour leur enfant ou tous jeunes patients qui décident d’une prise en charge pour eux-mêmes. Ils agissent véritablement pour le meilleur.

L’obtention des mesures pertinentes adaptées à l’âge. Les enfants, les jeunes adolescents et les adolescents en pleine croissance ou en fin de croissance ne seront pas soumis à l’impédancemétrie (Pour plus d’informations, se référer à « impédancemétrie » dans l’onglet MA METHODE) car un corps en croissance est en évolution permanente. L’obtention de données impédancemétriques n’est donc pas pertinente et ne peut pas constituer une base de travail représentative, même à court terme. Le poids et la taille sont les données de travail principales. Instaurer un cadre simple, sans la complexité de données abstraites pour le jeune permet de dédramatiser une situation qui peut être gênante ou inconfortable : la confrontation à des réalités physiques qui ont pu faire survenir des complexes et des difficultés psychologiques.

 

L’analyse exhaustive des comportements alimentaires : le nombre de repas au quotidien, la composition du petit-déjeuner, l’organisation générale à la cantine (la variété des plats proposés chaque jour, la qualité des repas qui y sont servis, les orientations générales et les choix faits par le jeune patient, le volume des repas, la quantité de pain, la fréquence des plats à contrôler impérativement, la tendance à se resservir…), la composition du goûter et l’heure à laquelle il est pris, la tendance et la fréquence des grignotages, l’organisation familiale des repas, les habitudes sucrées des fins de repas ou plus tard en soirée, les comportements alimentaires des parents, des ainés, des frères et sœurs, la qualité de sommeil du jeune. La liste est non-exhaustive, l’analyse s’oriente en fonction des réponses du patient. 

 

Une mise au point sur l’activité physique : à quelle fréquence le jeune pratique-t-il une activité, quel est son potentiel physique, son rapport aux notions de plaisir et de motivation, les raisons expliquant un manque d’activité physique, la place de la pratique physique dans la famille, existe-t-il une obligation parentale à pratiquer un sport, quel est le degré de difficulté du sport à l’école, existent-ils des associations sportives scolaires. Si le jeune ne pratique aucune activité, nous tâcherons ensemble de réfléchir sur une activité physique qui corresponde à ses possibilités physiques, qui ne crée pas d’aversion pour le sport mais qui, au contraire, soit compatible avec la notion de plaisir et de divertissement.

 

Un ZOOM sur la motivation du jeune ET sur l’implication de toute sa famille : la consultation fait-elle suite à l’initiative du jeune, est-elle proposée par un parent et acceptée par lui ou est-elle uniquement forcée par le parent ? Suivant la situation, le degré de difficulté et d’efficacité de la prise en charge, le temps de prise en charge varie. Il est impératif d’obtenir l’implication de toute la famille, c’est-à-dire que toute la famille suive les mêmes conseils alimentaires, pour encourager le jeune patient, pour le motiver à poursuivre ses progrès, à rester motivé et rigoureux. Le manque d’implication de la famille fait rapidement survenir un sentiment d’injustice, une attitude de révolte et provoque un sentiment de répulsion vis-à-vis de la prise la prise en charge ce qui brise toute chance de réussite.

Il se construit sur la base détaillée de principes alimentaires avantageux que je suggère de suivre et de quantités à respecter. Les suggestions formulées sont toujours validées par le jeune patient. Elles doivent être réalistes et s’imbriquer parfaitement dans son rythme de vie. Rien n’est imposé sous peine de perdre immédiatement son implication. La structure alimentaire est volontairement plus souple pour le jeune patient que pour l’adulte. La rigidité d’un programme alimentaire ne peut coïncider avec le développement social du jeune (activités et sorties en groupe, goûters d’anniversaire, soirées entre amis…). C’est la suppression de l’accumulation d’erreurs alimentaires qui sera bénéfique à la perte de poids couplée à une croissance qui naturellement affinera la silhouette. Le travail entrepris reposera sur l’apprentissage de la structure correcte des repas, des règles et des méthodes à appliquer à la cantine et hors du foyer familial, la détermination visuelle de volumes adaptés, le choix d’aliments qualitatifs, l’incitation à tester de nouveaux aliments, à en regoûter d’autres non appréciés, la correction des attitudes qui freinent l’équilibre alimentaire et favorisent la prise de poids.

Le suivi de l’évolution du poids du jeune patient par rapport à la courbe de croissance est un indicateur fiable pour mesurer les progrès en cours. La croissance, en accord avec des apports alimentaires adaptés, permet l’affinement naturelle de la silhouette. La prise en charge du jeune repose sur la correction d’erreurs alimentaires et sur la nécessité de rééquilibrer les apports nutritionnels. Jamais une réduction des apports alimentaires par rapport aux besoins quotidiens du jeune ne sera préconisée pour induire une perte de poids. 


Des services supplémentaires. Ceux-ci sont principalement adressés aux parents qui manquent de connaissances nutritionnelles et qui rencontrent des difficultés à maîtriser l’environnement alimentaire de leur foyer : coaching à domicile et coaching courses alimentaires.

LES SéNIORS

Le surpoids et la fonte musculaire sont les deux problématiques majeures rencontrées chez la population vieillissante. La fonte musculaire s’amorce dès l’âge de 50 ans, elle est inévitable et sera plus ou moins marquée selon les personnes. Elle peut être amplifiée ou aggravée par de mauvaises habitudes alimentaires qui entrainent des carences ou des apports insuffisants en protéines, par une malnutrition ou par une dénutrition. La fonte musculaire et les situations de dénutrition sont à prendre très au sérieux car elles peuvent entrainer des pertes de poids massives, parfois très rapides, qui mettent en péril la bonne santé du patient, ses facultés à s’équilibrer et augmentent les risques de chutes.

Evaluation des mesures anthropométriques (poids, taille, composition corporelle) à l’aide de l’impédancemétrie (Pour plus d’informations, se référer à « impédancemétrie » dans l’onglet MA METHODE). 

 

Analyse exhaustive des comportements alimentaires : 

Si la prise en charge concerne un surpoids ou une obésité, l’analyse se base sur les mêmes points d’attention que pour la personne adulte.

Si la prise en charge concerne une perte de poids hors de contrôle, une fonte musculaire ou une dénutrition, l’analyse portera sur la recherche des causes spécifiques qui ont précipité le patient dans la présente situation. Elles peuvent être nutritionnelles, médicales, sociales ou multifactorielles.

 

Les causes nutritionnelles : le nombre de repas quotidiens est-il suffisant, la structure et la composition des repas sont-elles adaptées, les aliments protéiques (viande, poisson, œuf, fromage) sont-ils consommés en quantité suffisante, l’appétit est-il stable ou diminué, existe-t-il des repas oubliés ou sautés, quel est le degré de plaisir à cuisiner et à manger. 

 

Les causes médicales : le patient présente-t-il des altérations physiques (état bucco-dentaire dégradé, troubles de la déglutition…), des troubles neurologiques (Alzheimer, Parkinson), une pathologie invalidante ou une maladie digestive qui freine les aptitudes à se nourrir. 

 

Les causes sociales : le patient est-il déprimé, en situation d’isolement ou de précarité. Un regard sur l’activité physique : bien sûr, les attentes sont proportionnelles à l’âge du patient. La personne vieillissante et la personne âgée sont concernées par le caractère indispensable de bouger. La sédentarité doit être évitée pour ne pas ankyloser les muscles dont la puissance, inévitablement, diminuerait progressivement entrainant toujours plus de sédentarité et augmentant le risque de chute. L’objectif est de trouver une activité adaptée, la marche à pied étant souvent le moyen d’entretien physique le plus accessible à tous. 

 

Un regard sur la motivation et la détermination du patient : que la prise en charge concerne une situation de surpoids ou de perte de poids subie, le patient doit se montrer motivé quel que soit son âge. Arrivé à un certain âge, un poids adapté et un bon équilibre nutritionnel ont toute leur importance et une négligence peut vite avoir des conséquences dramatiques. Le patient âgé est pris en charge avec plus de souplesse et l’atteinte des objectifs est généralement plus espacée dans le temps.

Chez le patient qui doit perdre du poids, le principe repose sur une alimentation variée, équilibrée, sans carence ni restriction qui permettra la diminution du stockage graisseux sans risque de fatigue. Par rapport aux patients adultes, la gestion du plan alimentaire est volontairement assouplie. 

 

Chez le patient qui doit prendre du poids, l’accent est mis sur un double aspect nutritionnel : d’une part la qualité des apports qui doit profiter à la santé du patient, d’autre part la quantité des apports qui doit influencer la prise de poids. Des compléments alimentaires peuvent être utilisés dans le contexte d’une prise de poids difficile. Ces compléments sont des concentrés énergétiques, protéiques, vitaminiques qui viennent en renfort à un programme alimentaire efficace mais insuffisant à lui seul pour redresser la situation.

Le suivi de l’évolution du poids. 

 

Si la nécessité est de perdre du poids : le patient doit perdre à un rythme qui assure d’une part la baisse de la masse graisseuse mais d’autre part la stabilité de la masse musculaire. Les mesures délivrées par l’impédancemètre (Voir « impédancemétrie » dans l’onglet MA METHODE) permettent de surveiller le capital musculaire du patient. Si les marqueurs indiquent une fonte musculaire, les apports alimentaires en protéines seront aussitôt renforcés. 

 

Si la nécessité est de prendre du poids : le suivi des mesures corporelles indique si l’amélioration qualitative et quantitative des apports alimentaires permet à la fois une prise de poids et un renforcement du capital musculaire. Certains patients sont affaiblis par des pathologies, digestives ou non, depuis longtemps installées. La présence d’une ou de plusieurs pathologies peut parfois allonger le processus de prise de poids. 

 

Des échanges clairs, simples et facilités. Nous avons tous des croyances, des habitudes de longue date, des moyens de faire difficiles à négocier. L’objectif n’est pas de chambouler les usages, les coutumes et les traditions de toujours mais de les améliorer par le moyen de conseils, de recommandations et d’informations.

LA FEMME ENCEINTE ET/OU ALLAITANTE


La grossesse n’exige pas de manger 2 fois plus. En revanche, elle exige d’être 2 fois plus attentif à la qualité des aliments consommés.

Nous veillerons ensemble à mettre en place un équilibre alimentaire quotidien irréprochable en terme de qualité et de quantité d’apports pour assurer le maintien de la bonne santé de la future maman et le parfait développement du bébé tout au long de la grossesse. 

 

Je vous proposerai un programme alimentaire qui permettra une prise de poids progressive et contrôlée. Le contrôle du poids est primordial, il permet d’éviter : 

 La complication principale liée à la grossesse qui est le diabète gestationnel

– Une situation de surpoids ou d’obésité après la grossesse qui peut fortement perturber le moral et tout l’équilibre psychologique de la nouvelle maman dont les tissus corporels auront déjà été éprouvés durant la grossesse et suite à l’accouchement.

Il est indispensable de veiller à l’hygiène alimentaire tout au long de la grossesse. Nous ferons le point sur les bonnes habitudes alimentaires, sanitaires, hygiéniques, à mettre en place et les produits à éviter pour prévenir les infections comme la listeriose et la toxoplasmose. 


Les conseils nutritionnels acquis durant la grossesse sont à prolonger durant la période d’allaitement. Certes, un peu de souplesse sera la bienvenue ! Néanmoins, le lait maternel devenant la source nutritive principale de l’enfant, il doit être le reflet d’une alimentation équilibrée de qualité pour assurer la croissance optimale du bébé.

PRENDRE DU POIDS

Certaines personnes dépensent plus d’énergie au repos que la moyenne. Ces personnes ont un métabolisme rapide : ils brûlent les calories consommées plus vite que les autres et peuvent manger beaucoup sans prendre un kilo.

 

La vitesse du métabolisme peut être accélérée par des facteurs tels que le stress, l’adaptation à des variations de température, la caféine, la nicotine et la densité musculaire. Mais, la vitesse de votre métabolisme est avant tout liée à votre patrimoine génétique, il est donc impossible d’agir sur ce point. 

 

 

Notons que la maladie peut entraîner une plus grande consommation de calories par l’organisme et un amaigrissement parfois très important. C’est le cas par exemple du cancer, de l’hyperthyroïdie, de brûlures graves, de la malabsorption des nutriments (colite ulcéreuse, maladie de Crohn, maladie cœliaque…).

 

Les personnes qui se trouvent dans des situations de maigreur ne sont pas toujours mieux portantes que les personnes en surpoids. La maigreur peut endommager la constitution osseuse, métabolique et physiologique de l’organisme et mener à des complications médicales à long terme. Par ailleurs, les personnes de morphologie maigre peuvent souffrir d’importants complexes.


Les personnes en bonne santé dont le métabolisme est élevé doivent manger plus pour prendre du poids. Mais pour prendre du poids sans nuire à sa santé, encore faut-il veiller à manger sainement. Pour une prise de poids harmonieuse, il faut assurer un équilibre entre prise de muscle et prise de masse grasse. Le corps sait parfaitement transformer en graisse l’excès de nutriments consommés. En revanche, il fabrique le muscle uniquement à partir des protéines apportées par notre alimentation. Autrement dit, celui qui veut prendre du poids doit veiller à consommer assez de protéines, au risque de ne prendre que des kilos de graisse. 

L’AUGMENTATION DES APPORTS ALIMENTAIRES QUI PERMETTRA LA PRISE DE POIDS S’ARTICULE AUTOUR DE TROIS ASPECTS NUTRITIONNELS ESSENTIELS :

LE RESPECT D’UN RYTHME ALIMENTAIRE CADRÉ


Il est essentiel de structurer le rythme alimentaire avec trois repas minimum : un petit-déjeuner, un déjeuner, un dîner. En plus de cela, une collation matinale, un goûter et une éventuelle collation nocturne peuvent être ajoutés. 

Une alimentation déstructurée chamboule le rythme alimentaire, fausse le déroulement qualitatif et quantitatif des trois repas généraux et conduit à des grignotages intempestifs. Un tel rythme est synonyme de qualité d’apports médiocre et de quantité consommée inadéquate. 

Le programme nutritionnel que je vous proposerai veillera à soigner votre rythme alimentaire.

LA QUANTITÉ DES APPORTS ALIMENTAIRES

 

Le bilan nutritionnel lors de la première consultation estime la quantité de calories généralement apportée par votre alimentation. A partir de cette estimation, mon programme nutritionnel vous apportera une quantité d’énergie quotidienne supplémentaire, permise par votre appétit. Ou bien vos trois repas suffiront à répartir cette énergie calorique supplémentaire, ou bien nous inclurons dans le programme quotidien deux ou trois collations pour étaler la prise alimentaire et éviter de forcer l’appétit.

LA QUALITÉ DES APPORTS ALIMENTAIRES

 

Manger plus est une chose, il faut à présent veiller à manger des aliments à haute valeur ajoutée. Ces aliments apportent une quantité de calories satisfaisante, ils fournissent de l’énergie qui s’étale dans le temps et ils participent au maintien de la santé. Nous veillerons à assurer un apport suffisant en protéines qui régulent la satiété et assurent la prise ou le maintien de la masse musculaire. Nous augmenterons les apports en graisses de bonne qualité qui ont une densité calorique élevée et participent activement à tout l’entretien structural de l’organisme. Quant aux aliments glucidiques qui apportent des sucres qui sont indispensables au fonctionnement de l’organisme, ils seront principalement consommés sous forme de féculents (pâtes, riz, pommes de terre, légumes secs…). Les « snacks » gras et/ou sucrés type chips, bonbons, chocolats, biscuits, glaces, etc devraient être consommés en quantité limitée.

Par ailleurs, il est vivement recommandé de pratiquer une activité physique régulière pour favoriser une prise de muscle en accompagnement de l’augmentation des apports caloriques journaliers.

ALIMENTATION VÉGÉTARIENNE / VÉGAN

La cause environnementale et/ou animale vous importe, vos valeurs, votre éthique vous amènent à modifier ou à revoir du tout au tout votre alimentation. Je vous accompagne dans une prise en charge diététique dont les points clefs sont :

ASSURER DES APPORTS 

SUFFISANTS EN PROTÉINES

Parce qu’elles sont indispensables à notre santé et au fonctionnement de tout l’organisme, il est nécessaire que vous appreniez à avoir un apport en protéines correct dans le cadre de votre alimentation végétale.

OPTIMISER VOTRE ALIMENTATION 

POUR ÉVITER TOUTE CARENCE

Ma spécialisation en connaissance des aliments me permettra de vous aiguiller correctement pour pallier les carences en vitamines et en minéraux.

CONTRÔLER LES APPORTS EN GLUCIDES 

(LES SUCRES DES PRODUITS VÉGÉTAUX)

Une alimentation végétarienne mal équilibrée se traduit souvent par un apport en glucides trop important, entraînant une prise de poids.

GARDER LE PLAISIR 

DE L’ALIMENTATION

L’alimentation végétale peut heureusement être gourmande ! Mon éventail de recettes est large, nul doute que nous y trouverons votre bonheur !